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Church in the Darkness

church in the darkness

The Church in the Darkness est un nouveau jeu d’aventure et d’infiltration indépendant en vue du dessus, développé par Paranoid Production et publié par Fellow Traveller, qui devrait sortir le 2 août sur PC (sur Windows et Mac), PlayStation 4, Xbox One et Nintendo Switch (la totale).

Dieu est amour

L’histoire de Church in the Darkness nous emmène vers la fin des années 70. Comme son titre peut l’indiquer, les événements de ce jeu tournent autour de la religion, mais pas n’importe laquelle. Isaac et Rebecca Walker ont été témoins de la vérité absolu et ont décidé de la partager avec le plus de monde possible. Pour le faire, ils créèrent la « Collective Justice Mission ». Cette communauté (comme ils aiment l’appeler alors que la véritable appellation est culte), s’installa aux USA et commença à recruter des adeptes. Les cibles étaient des idéalistes, des marginaux mis au banc de la société, des personnes perdues à la recherche de réponses. La communauté fut bâtie mais très vite ses intentions devinrent limpides. Son caractère extrémiste et radical fut révélé au grand jour, et le seul moyen d’échapper au gouvernement et ainsi à l’emprisonnement (et aussi pour garder le contrôle sur tous ces “croyants”), était de délocaliser la communauté (on dirait une usine) et l’établir ailleurs. C’est l’Amérique du sud qui fut choisie pour accueillir cette communauté et fonder ce que le couple Walker appelle « une société utopique socialiste », une ville du nom de Freedom Town, traduit la ville de la liberté (on appréciera le caractère ironique de la chose). Partis avec  tous les « fidèles » (un nombre estimé entre 80 et 500 personnes)  de nombreuses familles restèrent perplexes quant à l’avenir de leurs proches, que ce soit leurs enfants, frères, sœurs, maris, épouses, mères ou pères. Et c’est l’un d’eux qui sera notre héros.

church in the darkness

Nous interprétons Vic, un ancien policier, inquiet du devenir de son neveu. Il entreprit le voyage jusqu’en Amérique du Sud dans le but de comprendre ce qui se passe et être sûr qu’il aille bien. Le but consiste donc à infiltrer le petit village, découvrir ce qui s’y passe et trouver Alex (le petit neveu). Le jeu dispose d’un potentiel de rejouabilité extrême, sachant qu’il dispose d’éléments nous permettant de le qualifier (un peu) de jeu Rogue-like. Prenant l’exemple des objectifs, éléments d’enquête et les configurations, tout cela change à chaque fois qu’on recommence une partie. Des techniques de narrations procédurales ont été utilisées pour changer les croyances, aspirations et même dangerosité du culte. Etant donné que tout change d’une partie à une autre, le seul moyen de savoir à quoi on doit s’attendre, c’est de prêter l’oreille aux messages de la part des « dirigeants » par le biais des haut-parleurs disséminés un peu partout sur le périmètre et en mettant la main sur divers documents donc des lettres, des coupures de journaux et encore de la correspondance au sein de la communauté. On peut également essayer de trouver les quelques rares personnes à l’intérieur du culte qui sont prêtes à nous parler et à nous livrer quelques informations extrêmement précieuses. Par contre, s’il y a un truc qui ne change pas, c’est bien l’attitude des gardes envers les étrangers qui essayent de se faufiler dans le village (c’est-à-dire nous). Les ordres restent les mêmes quel que soit la version du culte et ces derniers chercheront à nous capturer dans un premier temps, et si on arrive à s’échapper et à se faire reprendre, cela signifie malheureusement la fin de la partie.

Un jour, une histoire

Chaque culte a une croyance différente (c’est bien sûr le même culte mais ses fondements changent d’une partie à une autre). Une sculpture peut être un objet de prière un jour ou bien un symbole maléfique le lendemain. Contrairement à ce qu’on pourrait penser, le jeu ne s’arrête pas lorsqu’on retrouve le petit neveu Alex. Il dispose lui aussi d’une volonté propre et il peut très bien décider de partir mais aussi de rester. On peut également décider de trouver et de s’expliquer avec les fondateurs du mouvement (Isaac et Rebecca) pour comprendre la raison de leur agissement voire même les punir. D’ailleurs durant l’aventure (ou plutôt les aventures) on peut adopter plusieurs approches. On peut éliminer les adversaires, les mettre simplement hors d’état de combattre ou faire un peu des deux. Toutes ces décisions entrent en compte et leur somme détermine le type de fin qu’on aura, car oui, il y en a plusieurs. Pour avoir une idée sur ce qui a été accomplis et ce qui reste à faire, nous disposons d’un écran dédié, nous montrant les fins que nous avons débloqués. Cet écran nous montre ce qu’on a débloqué mais aussi le niveau de difficulté avec lequel on a débloqué la fin. Quatre niveaux de difficulté nous sont accessibles, et chaque niveau augmente (ou diminue) considérablement la difficulté, ce qui ne manquera pas d’offrir un défi croissant.

church in the darkness

Les différentes fins ne sont pas les seules choses à débloquer. Au fur et à mesure de nos découvertes, on peut trouver de l’équipement, des armes et des objets utilitaires. Prenons l’exemple des armes, il suffit qu’on en découvre (le pistolet à fléchettes tranquillisantes pour n’évoquer que lui), ce dernier devient disponible et on peut l’équiper en début de partie sur notre personnage. Il arrive qu’on rencontre des événements bizarres lors de notre exploration/infiltration, des membres du culte attachés à des poteaux servant de cible d’entrainement aux tirs, d’autres emprisonnés dans des cages au beau milieu de la place centrale du village, ou encore des corps abandonnés après une fusillade. Outre notre mission principale, on peut également avoir accès à des missions secondaires, octroyés par de rares membres du culte. Ces derniers demandent notre aide pour divers choses et nous proposerons la leur une fois leur mission accompli. Ces missions changent d’une partie à une autre, et un PNJ qui semblait être coopératif dans une partie peut très bien devenir le croyant le plus loyal et le plus fervent du culte. Une fois détecté, le garde ou le membre du culte fera tout pour prévenir le reste du culte et sonner l’alerte, ce qui ne manquera pas de nous faire poursuivre par tout le monde, dans le but de nous avoir (évidement). Bien qu’il soit possible de désactiver les systèmes de sécurité (les systèmes d’alarme), il faudra un matériel spécial, qu’on trouvera sur place, pour le faire.

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Pour les plus courageux et le plus persévérants d’entre nous, sachez qu’il existe 19 fins possibles avec 4 niveaux de difficultés différents. Si on arrive à accomplir et à débloquer toutes ces fins, le prix suprême sera notre récompense, le trophée de platine.

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Saktus test régulièrement des jeux vidéos et nous fait des compte rendu aux petits oignons !

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