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Rallye virtuel : le setup de base

Mis à jour le 29 octobre 2020.

Le rallye virtuel fait partie des disciplines phares en matière de simulation de course. Mais que ce soit pour rouler sur asphalte ou sur terre, il faut s’équiper un minimum pour ressentir l’immersion. Autrement, ce n’est pas aussi jouissif qu’on pourrait le penser. Voici donc, le setup de base qu’il faut pour se lancer dans le rallye virtuel.

Un volant, bien évidemment

Qui dit simulation de rallye dit volant, of course ! Nombreux sont ceux qui ont tenté de jouer avec des joysticks divers comme manettes ou claviers, mais le ressenti n’y est pas. Pour un minimum d’immersion, un volant s’impose.

C’est vers la fin des années 90 que les volants dédiés aux jeux de course ont vu le jour. Le premier à avoir réellement conquis le cœur des amoureux de la simulation de course, c’est le Logitech G25, pour lequel nous avons fait un hommage récemment.

 

Aujourd’hui, il existe de nombreux types de volants, ainsi que plusieurs marques. Certains volants sont dotés de roues escamotables et interchangeables selon les disciplines (F1, rallye ou circuit).

Le choix d’un volant pour le rallye virtuel dépendra alors de trois critères majeurs : le budget, la précision et le réalisme au niveau du ressenti. Bien évidemment, plus le budget augmente, plus les performances du volant sont pointues.

Un frein à main, pour aborder les virages serrés

Le plus souvent, les volants sont livrés avec des palettes ou un levier déporté, pour passer les vitesses. Mais il faudra investir dans un joystick à part, qui servira de frein à main.

Les passionnés de rallye le savent bien, la manette va de pair avec cette discipline. Pour placer efficacement la voiture dans un virage serré ou tout simplement pour partir en dérive et impressionner le public, le frein à main est in-con-tour-nable.

 

Dans les années 2000, les gamers se servaient du levier de vitesse du Logitech G25 pour le frein à main. Comme les palettes au volant permettaient de passer les vitesses, il suffisait alors de paramétrer le joystick pour avoir un frein à main à disposition. D’autres ont opté pour le DIY, bricolant des joysticks en utilisant un bouton ON/OFF.

Quelques années après, des freins à mains plus évolués sont apparus sur le marché. Désormais, ce sont des joysticks à potentiomètres, permettant d’effectuer des freinages plus dosés, grâce au caractère « progressif » du frein à main.

Une plateforme adaptée

Pour faire de la simulation de rallye, il faut bien évidemment jouer sur une plateforme adaptée. Et sur ce point-là, c’est comme les goûts et les couleurs, ça ne se discute pas.

Il y a ceux qui ne jurent que par la simulation de rallye sur PC. La principale raison, c’est que cette plateforme est personnalisable à souhait. Contrairement aux consoles, on peut upgrader la configuration d’un PC, autant que le budget le permet. L’optimisation des cartes graphiques, du processeur ainsi que de la mémoire vive ouvre à des perspectives quasi-infinies.

©️digiprost

Sur PC, les jeux de simulation de rallye ne manquent pas : Richard Burns Rallye (dans sa version patchée), Dirt 2.0, WRC et bien d’autres encore.

Sur console, les jeux disponibles sont pratiquement les mêmes, sauf qu’ils ne sont pas personnalisables à souhait. Par exemple, la PS4 ne permettra pas de patcher un jeu comme Richard Burns Rally pour en faire une véritable simulation de course, avec des notes personnalisées, des décos personnalisées et des réglages aux petits oignons.

©️Rallyesim

Et pour pousser plus loin le niveau de réalisme ?

Voilà qui résume le setup de base pour le rallye virtuel. Mais pour encore plus d’immersion, il suffit d’upgrader la configuration.

Par exemple, il sera intéressant d’investir dans un cockpit de simulation animé par des vérins hydrauliques, imitant les tangages de la voiture.

En ce qui concerne l’affichage, chacun a ses préférences. Il y a des gamers qui préfèrent un seul et unique écran ultrawide comme le Samsung C49HG90, doté d’une taille VA de 49 pouces et incurvée.

©️u/scroopy-_-noopers

D’autres opteront pour le triple screen, qu’ils estiment plus réaliste, bien que plus complexe à configurer. Enfin, il y a les plus ambitieux qui pencheront vers la réalité virtuelle. Mais pour rendre cela immersif plutôt que le contraire, il faut une excellente carte graphique sur le PC, ainsi que des lunettes VR haut de gamme.

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