Le site spécialisé Tax Watch vient de dévoiler ce qui semble être un scoop dans l’univers des jeux vidéos. Il point du doigt l’éditeur britannique du nom de Rockstar Games. En effet, celui qui a enchaîné les succès, et donc de gros bénéfices, ces dernières années, n’aurait pas payé ses impôts.
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Des bénéfices d’exploitation considérables
Un bien culturel
Cette affaire peut également amener le Royaume-Uni à réviser le système d’allègement fiscal. En effet, Tax Watch révèle également que Rockstar Games a bénéficié d’un allègement fiscal de 46 millions d’euros, entre 2013 et 2017. Un chiffre qui représente quelque 20 % des crédits d’impôt accordés à l’industrie vidéoludique britannique. Néanmoins, ce petit coup de pouce est tout à fait justifié : GTA 5 étant considéré comme un bien culturel britannique. Un statut controversé, dans la mesure où le titre est loin d’être exempt de critique, à cause des incitation à assassiner des prostituées, de l’inexistence de héroïne féminine, ni de protagoniste britannique d’ailleurs.