/var/www/vhosts/mon-set-up-gaming.fr/httpdocs/wp-content/plugins/query-monitor/wp-content/db.php SteelSeries Rival 310 : Notre Test, une bonne souris abordable ?
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Notre test de la souris SteelSeries Rival 310

Résumé
Belle évolution de la Rival 300 que cette Rival 310. Encore plus agréable à manipuler, plus robuste et équipée d'un excellent capteur optique, elle a de quoi satisfaire bon nombre de joueurs droitiers cherchant tout de même un certain confort.
Les +
  • Très bonne prise en main adaptée aux droitiers
  • Bonne qualité de fabrication
  • Capteur optique très performant
Les -
  • Seulement 2 niveaux de sensibilités paramètrables
  • Nombres de boutons programmables
8.8
Tier 1
Design - 9
Matériaux - 9
Ergonomie - 9
Capteur - 9
Boutons programmables - 8

Mis à jour le 28 novembre 2019.

La Rival 310 de Steelseries, qui est une déclinaison, pour droitier uniquement, de la Sensei 310, adopte un design très similaire à sa grande sœur la Rival 300 ; elle modernise ses contours et surtout son électronique en se dotant d’un capteur optique encore plus évolué, le TrueMove3, développé en collaboration avec PixArt.

Vue du packaging de la souris Steelseries rival 310

  • Capteur: Optique
  • DPI Max: 12.000
  • Boutons: 6 programmables
  • Poids: 89 g
  • Rétroéclairage personnalisable
  • Steelseries Engine 3

Design et ergonomie

Globalement, la SteelSeries Rival 310 reprend les grandes lignes de la précédente Rival 300. La souris conserve ainsi les courbes ayant forgé son succès, tout en adaptant son ergonomie à une plus grande population de joueurs… droitiers ! En effet, la Rival 310 s’avère encore plus convaincante en raison de son design spécifiquement pensé pour accueillir une main droite. Elle est ainsi légèrement inclinée vers la droite et soutient mieux la paume grâce à sa forme un peu plus bombée, pour un plus grand confort d’utilisation. Ainsi elle s’adapte aussi bien aux petites qu’aux grandes mains, tout en gagnant en confort avec un poids passant de 133 g à seulement 89 g.

 

 

Ses dimensions sont plus généreuses que celles de la Sensei 310 : 127,6 x 70 x 42 mm. On peut ainsi y poser entièrement la main ou la tenir en griffe pour un peu plus de nervosité, quand la Sensei 310 invite plus à une prise du bout des doigts. Les grandes mains y seront en tout cas à leur aise !

Le look de la souris est également revu, avec une coque en plastique noir disposant désormais d’un revêtement gris et légèrement rugueux sur les côtés. Ces tranches antidérapantes améliorent la préhension et permettent de soulever aisément la souris. SteelSeries précise que ces dernières sont revêtues de “silicone pur” qui offrirait “une prise en main extrêmement durable”. Il est vrai que ce revêtement paraît résistant et néanmoins souple et agréable au toucher. Espérons donc qu’il résistera bien à l’usure, d’autant que SteelSeries vise cette fois clairement l’eSport, synonyme d’utilisation intensive.

 

 

C’est sans doute également pour cela que le plastique de la coque, à l’aspect mat, offre un toucher semi-rugueux. Il paraît ainsi robuste et permet de limiter la sueur et les traces de doigts qui vont avec. Au toucher, l’ensemble se montre donc très agréable. Visuellement, le constructeur fait dans la simplicité et les amateurs de périphériques sobres devraient apprécier.

Lire le test de la Glaive de Corsair

Du côté des commandes, pas de grandes différences entre les modèles 310 et 300, et c’est toujours un peu le service minimal, puisque la souris conserve ses 6 boutons programmables.

Dans les détails, on retrouve tout d’abord les deux clics principaux, qui auront la particularité d’intégrer des interrupteurs Omron annoncés avec une durabilité de 50 millions de clics ! Il est donc fort probable que vous changerez de mulot avant d’avoir épuisé les interrupteurs ! On notera que ces derniers sont désormais parfaitement séparés, là où le précédent modèle optait pour une construction en un seul et même bloc.

 

vue de face de la steelseries Rival 310

 

Entre les deux boutons principaux, on retrouve une molette intégrant une première zone de rétroéclairage personnalisable. Le défilement se montre silencieux, tout en gardant un certain marquage au niveau des crans. D’ailleurs, la molette profite du même revêtement silicone que les tranches et accroche donc bien le doigt. Son faible dépassement par rapport à la coque de la souris permet d’y accéder rapidement.
La principale différence avec la Sensei 310 se trouve au niveau des boutons situés uniquement sur la tranche gauche (souris pour droitiers oblige) : ils sont en effet beaucoup plus larges et donc encore plus faciles à manipuler. Enfin, un dernier bouton trouve sa place au-dessus de la molette, servant par défaut à basculer à la volée entre les 2 réglages de sensibilité du capteur.
Du côté de la connectique, la souris embarque un câble non-tressé d’une longueur de 2 m. La fixation semble avoir été renforcée, et la base de la Rival 310 vient désormais se positionner sous le cordon afin d’éviter que celui-ci ne frotte contre son tapis de souris.

Lorsqu’on retourne notre rongeur informatique, on ne lui trouve pas 4 pattes mais bien 3 patins en PTFE qui jouent parfaitement leur rôle et assurent des mouvements fluides et relativement silencieux, aussi bien sur surfaces souples que dures. Cependant l’utilisation d’un tapis de souris permettra d’améliorer la glisse, de réduire le bruit et de préserver les patins.

Question rétroéclairage personnalisable, comme je vous l’ai dit précédemment, on fait dans la sobriété et donc seuls la zone de la molette et le logo bénéficient de RGB.

Voir aussi notre test sur la Razer Mamba Tournament Edition

Utilisation et fonctionnalités

À l’instar des autres périphériques de la gamme, la Rival 310 est compatible avec le logiciel SteelSeries Engine V3. On pourra donc configurer la totalité des 6 boutons de la Rival 310 en leur attribuant la fonction de votre choix.
Si les zones RGB sont restreintes, le logiciel permet néanmoins de les programmer grâce à de nombreuses options de coloris et il est possible de mettre en place des effets de dégradés clairement réussis. Donc les amateurs de RGB ne seront pas trop déçus.
La seconde partie du logiciel se concentre sur la configuration du capteur optique de la souris. On pourra paramétrer deux niveaux de sensibilité sur des valeurs comprises entre 100 et 12 000 DPI.
Il est également possible d’ajuster l’accélération et la décélération du capteur, l’accrochage aux angles ou encore le taux d’interrogation (jusqu’à 1000 Hz).
Toutes ces configurations peuvent ensuite être affectées à un profil spécifique, qui pourra être chargé automatiquement en fonction de ses jeux ou applications.

Vue du panneau Steelserie engine V3 pour la Rival 310

La Rival 310 troque le capteur optique Pixart PMW3310 de la Rival 300 contre un tout nouveau capteur baptisé TrueMove 3. Développé en partenariat avec Pixart, il est basé sur le PMW3360 qui équipe de nombreuses autres souris optiques. Si SteelSeries promet qu’il est conçu spécifiquement pour l’eSport, il est bien difficile dans la pratique de déceler avec précision d’éventuelles différences de comportement par rapport aux autres capteurs équivalents… Et pour cause : tous les capteurs proposent des performances de haut vol et atteignent des vitesses déjà largement supérieures à celles que peut atteindre un bras humain. Toujours est-il que précision et réactivité sont bel et bien au rendez-vous. Il faut dire que le capteur est capable d’encaisser des accélérations allant jusqu’à 50 g et de fonctionner avec une vitesse de capture maximale de 8,9 m/s. Le suivi optique 1:1 sur une plage de sensibilité de 100 à 3 500 DPI parachève ces remarquables prestations.

Si la sensibilité maximale peut par ailleurs grimper jusqu’à 12 000 DPI, rappelons que, dans la pratique, il est encore inutile, voire contreproductif, de chercher à utiliser sa souris à un tel niveau. À 12 000 DPI, un mouvement de moins d’un centimètre suffit à parcourir toute la largeur d’un écran Ultra HD ; autant dire adieu à votre headshot dans ces conditions. Mais la souris répond à toutes les sollicitations, que l’on joue en basse ou en haute sensibilité, et c’est bel et bien dans la plage de 100 à 3 500 DPI qu’elle se comportera le mieux.

La reconnaissance des surfaces est par ailleurs très bonne, la Rival 310 tolérant de nombreux revêtements à l’exception du verre et autres surfaces transparentes ou trop réfléchissantes. Cependant, s’agissant d’une souris dédiée au jeu, tout bon gamer utilisera un tapis de souris.

Conclusion

Difficile de trouver grand-chose à redire concernant cette nouvelle SteelSeries Rival 310. Si vous êtes à la recherche d’une souris à la fois confortable, rapide à prendre en main et disposant d’un capteur parfaitement fiable, elle pourrait bien être la candidate idéale.
Sans compter qu’elle est, aujourd’hui, à un prix très attractif puisqu’elle date déjà du deuxième semestre 2017, ce qui ne l’empêche pas d’être toujours très compétitive à l’heure où j’écris ces lignes.

Si vous hésitez encore entre différentes souris gaming, nous vous conseillons la lecture de notre guide d’achat souris gamer.

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Écrit par
Emmanuel est le testeur en chef du site : chaises, casques, souris tout y passe !

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